- "L'arme favorite du poilu est la baïonnette"
- À hauteur d'hommes
- "Quant à l'homme, où était-il?"
- "Se battre sans se voir"
- "Beaucoup de bruits circulent"
- L'impossible barda
- "Avant de monter à l'échafaud"
- Courir à l'ennemi
- "Ça y est, on les a bousillés"
- La guerre, c'est surtout l'assaut et le combat
- Le choc, le chef, l'héroïsme
- A l'épreuve du feu
- La presse et les manuels scolaires
- La caserne ou l'école du soldat
- Un mythe militaire paradoxal
- Une baïonnette pour les cavaliers ?
- Les statistiques sont formelles
- La zone de mort
- Bouleversements tactiques
- Les "offensifs" montent en puissance
- Se tenir droit : le primat des forces morales
- L'exaltation du "tempérament français"
- Rosalie, figure-clé dès l'entrée en guerre
- La source d'une inépuisable confiance
- La baïonnette allemande, arme de sauvages
- La presse, porte-voix de l'armée
- Premiers doutes
- Les premiers mois, la vaillante baïonnette
- Une histoire bien rodée
- Histoire d'un surnom
- Le haut commandement dans l'impasse
- "Creuser des trous pour n'y planter que des hommes"
- Renouer avec la "vraie guerre"
- "Après la Champagne, Verdun; après Verdun, la Somme; et après?
- "Vivement la tranchée qu'on se repose"
- Une image discréditée mais tenace
- La baïonnette disparaît progressivement de la presse
- Vers un certain réalisme
- Un ressort humoristique
- Dans le roman populaire, la baïonnette reste "rouge de sang"
- Jusqu'aux biens de consommation patriotiques...
- Un point de fuite hors champ mais incontournable
- Une "image emblématique"
- L'ambivalence des combattants
- "Les journaux continuent à nous servir leurs histoires"
- "Ils déchiraient les journaux avec rage"
- "Ça doit être beau une charge à la baïonnette!"
- "Dis donc: baïonnette, ça s'écrit comment?"
- "C'est mou, il n'y à qu'à enfoncer"
- D'un siècle à l'autre
- Derniers feux
- Des hommes fauchés en plein élan
- Le meurtre à l'arme blanche, un observatoire fascinant.
""Baïonnette au canon !" "En avant, à la baïonnette !" Les conscrits de 1914 sont d'abord des fantassins, préparés à faire la preuve de leur bravoure lors d'assauts et de combats au corps à corps à l'arme blanche, où ils surpassent leurs ennemis et remportent la victoire. Pourtant, dans les tranchées, la réalité est tout autre. Sur un champ de bataille bien peu propice à l'héroïsme et face à la puissance destructrice des pluies d'obus, au feu de l'artillerie, aux attaques chimiques et aux raids de l'aviation, les soldats tombent en masse et sont tués à distance dans une guerre résolument moderne. Par-delà les mythes et les images d'Épinal, à hauteur d'hommes, la véritable histoire d'une arme devenue paradoxalement l'emblème de la Première Guerre mondiale."--Page 4 of cover.