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"Böhmen, Mähren und Mährisch Schlesien können auf eine wechselhafte Geschichte zurückblicken. Ursprünglich keltisch-germanisches Siedlungsgebiet, wanderten im Frühmittelalter die Slawen ein. Schon bald wurden die Länder Teil des christlichen Europas. Zu einer der bestimmenden Mächte Mitteleuropas stiegen sie im 14. Jahrhundert unter der Herrschaft der einheimischen Przemysliden und der Luxemburger auf: Nach anfänglichen Konflikten kam es mit dem großen Nachbarn, dem römisch-deutschen Reich, zu einer engen Zusammenarbeit - und mit Karl IV. trug schließlich ein böhmischer König die Kaiserkrone. Im 15. Jahrhundert war es wiederum Böhmen, das mit dem ersten Prager Fenstersturz das europäische Zeitalter der Reformation einläutete. Kurzweilig und fundiert führt Peter Hilsch den Leser durch die spannende und wechselhafte Geschichte Böhmens und Mährens." -- Page 4 of cover

• Carte. L'Autriche de 1921 à 1938 et après 1945
• Avant-propos. Une contre-histoire de l'Anschluss
• Glossaire
• 1. Un État sans nation, une république sans républicains (1918-1932)
• Rouges, Noirs et nationaux-allemands
• En 1919, une république sous influence socialiste
• "L'Autriche, c'est ce qui reste"
• Un pays qui doute de lui-même
• En 1920, une république sous influence conservatrice
• Heimwehr contre Schutzbund
• La tentation bolchevique du parti socialiste autrichien
• Ignaz Seipel, le chancelier de fer
• La tentation fasciste de la Heimwehr
• La tentation allemande de l'Autriche
• En 1931, les socialistes refusent d'entrer au gouvernement
• 2. Dollfuss, une volonté politique (mai 1932-avril 1934)
• Le national-socialisme, en Autriche, existait avant Hitler
• Adolf Hitler, l'Autrichien qui détestait l'Autriche
• Engelbert Dollfuss, le petit paysan devenu chancelier
• Dollfuss marche sur les traces de Seipel
• Le national-socialisme à l'assaut de l'État autrichien
• Dollfuss décide de se passer du Parlement
• Un gouvernement autoritaire
• Les chrétiens-sociaux entre grands principes et Realpolitik
• "Renouveler notre patrie par le signe de la croix du Christ"
• Vienne entre Berlin et Rome
• Début de la terreur nazie sur le sol autrichien
• 19. juin 1933 : le parti nazi est interdit en Autriche
• Contre l'hitlérisme, Dollfuss exalte la mission de l'Autriche
• S'ouvrir à gauche et résister à droite
• L'insurrection socialiste, une fuite en avant
• Mythe et réalités des combats de février 1934
• L'antagonisme droite-gauche affaiblit l'Autriche
• 3. Échec aux nazis à Vienne (mai-juillet 1934)
• Vague de terrorisme nazi sur l'Autriche
• Un plan pour éliminer Dollfuss
• Hitler cherche le bon moment pour un coup d'État à Vienne
• *25 juillet 1934, coup d'État nazi à Vienne
• Dollfuss meurt après plus de trois heures d'agonie
• En province, les forces armées autrichiennes écrasent les nazis
• L'assassinat de Dollfuss stupéfie le monde
• L'échec du putsch déclenche la fureur de Hitler
• Le gouvernement autrichien cherche les coupables en Allemagne
• "Vive Hitler !" crie l'assassin de Dollfuss sur l'échafaud
• Deux énigmes entourent encore la mort de Dollfuss
• À Vienne, 200 000 personnes rendent hommage au chancelier assassiné
• Dollfuss, champion de l'indépendance de l'Autriche
• 4. La solitude du chancelier Schuschnigg (août 1934-mai 1936)
• L'ambassadeur de Hitler à Vienne, un loup déguisé en agneau
• Schuschnigg en quête d'alliés pour Vienne
• Après la guerre d'Abyssinie, Mussolini lâche l'Autriche
• Tentatives d'ouverture à gauche
• Le sociologue catholique Ernst Karl Winter bouscule le gouvernement
• Schuschnigg discute avec les nationaux mais poursuit les nazis
• Les rapports se tendent au sein du gouvernement
• Schuschnigg rompt avec la Heimwehr
• Otto de Habsbourg, un nouvel acteur politique
• Un renouveau du courant monarchiste
• 5. L'identité autrichienne, un débat d'idées (années 1930)
• Le système de Dollfuss et Schuschnigg n'est pas un fascisme
• Une dictature conservatrice
• Un antisémitisme latent perdure en Autriche
• L'État corporatif n'a jamais eu de politique antisémite
• Les catholiques autrichiens sont conservateurs
• L'épiscopat autrichien condamne le racisme
• Des catholiques contre l'antisémitisme
• Les socialistes continuent de rêver à l'Anschluss
• Les conservateurs à la recherche de l'identité autrichienne
• À l'école de l'Action autrichienne
• Alfred Klahr, théoricien communiste de la nation autrichienne
• 6. Schuschnigg, du compromis au sursaut (juillet 1936-mars 1938)
• L'accord du 11 juillet 1936, une défaite pour l'Autriche
• À Vienne, les nationaux-socialistes ne lâchent rien
• Une embellie économique trompeuse
• La restauration des Habsbourg, un casus belli pour les nazis
• L'armée autrichienne s'attend à une attaque allemande
• L'Autriche isolée sur la scène internationale
• Les nazis d'Autriche préparent un nouveau coup d'État
• À Berchtesgaden, Hitler humilie le chancelier d'Autriche
• Arthur Seyss-Inquart, le cheval de Troie nazi
• Otto de Habsbourg prêt à assumer le pouvoir
• Le sursaut du chancelier Schuschnigg
• *13 mars 1938, un référendum sur l'indépendance de l'Autriche
• 7. Finis Austriae (10-15 mars 1938)
• Jeudi 10 mars 1938
• Vendredi 11 mars 1938
• Samedi 12 mars 1938
• Dimanche 13 mars 1938
• Lundi 14 mars 1938
• Mardi 15 mars 1938
• 8. Sous le joug nazi (mars 1938-mai 1945)
• Un État souverain a disparu sans que les Occidentaux réagissent
• L'Anschluss mis en scène par la propagande nazie
• Ce qu'on ne voit pas sur les photos : la répression politique
• Les patriotes autrichiens dans l'enfer de Dachau
• Ce qu'on ne voit pas sur les photos : la persécution des Juifs
• Après l'Anschluss, l'État autrichien est démantelé
• La Gestapo fait régner la terreur à Vienne
• L'égarement du cardinal Innitzer
• Le 10 avril 1938, un référendum truqué
• La spoliation et l'exil des Juifs autrichiens
• Mars 1938, une révolution culturelle
• Une euphorie de quelques mois
• Quand la jeunesse catholique de Vienne se rebelle
• La destruction des Juifs de Vienne
• L'Autriche est désormais dirigée par des Allemands
• En 1939, les Autrichiens embarqués dans la guerre
• L'indépendance de l'Autriche, un des buts de guerre des Alliés
• Un déluge de bombes sur l'Autriche
• Les Soviétiques prennent Vienne, les Occidentaux l'Autriche alpine
• 9. Ces Autrichiens qui ont résisté à Hitler (1938-1945)
• Les exilés socialistes restent hostiles à l'indépendance autrichienne
• Le combat d'Otto de Habsbourg pour la liberté de l'Autriche
• Résister, c'est devenir une proie pour la Gestapo
• Les groupes de résistance socialistes sont rares
• Dans la résistance, les communistes occupent l'espace à gauche
• De nombreux groupes de résistants conservateurs
• Trois mouvements patriotes prêts à fusionner démantelés par la Gestapo
• Le fort engagement des légitimistes dans la résistance
• Le réseau Maier-Messner-Caldonazzi entre en contact avec les Alliés
• Toute désobéissance au régime nazi est une forme de résistance
• À Vienne, un prêtre sur cinq a été arrêté par la Gestapo
• Ces catholiques qui ont aidé les Juifs persécutés
• Les Habsbourg œuvrent pour l'Autriche auprès de Roosevelt et de Churchill
• Le mouvement de résistance 05 dépasse les clivages politiques
• Des résistants autrichiens au sein de la Wehrmacht
• Le Tyrol, royaume des maquisards et partisans
• Une résistance minoritaire, mais significative
• 10. Entre histoire et mémoire, naissance d'une nation (de 1945 à nos jours)
• L'Autriche occupée par les Alliés
• Leopold Figl, l'homme fort de l'Autriche d'après guerre
• Dès 1945, le gouvernement autrichien lance la dénazification
• Des milliers de procès et de nazis condamnés
• Le lent retour des prisonniers de guerre
• Le traité d'État de 1955 : l'Autriche recouvre sa souveraineté
• Une volonté de tourner la page du passé
• La responsabilité de certains Autrichiens n'est pas la responsabilité de l'Autriche
• L'Autriche, victime ou complice ?
• Restituer à l'histoire toute sa complexité.

"Le 13 mars 1938, Hitler proclamait le rattachement de l'Autriche au Reich et, deux jours plus tard, faisait son entrée dans Vienne. Ces événements sont connus, et plus encore les photos qui les illustrent : douaniers autrichiens accueillant les soldats de la Wehrmacht, foule acclamant le Führer au cœur de la capitale danubienne. Le 10 avril suivant, par plébiscite, 99,73 % des Autrichiens approuvaient l'Anschluss. Mais pourquoi ne dit-on jamais que les célèbres photos de 1938 ont été orchestrées par la propagande nazie ? Et pourquoi n'expose-t-on jamais l'envers du décor ? Le désarroi de la petite République d'Autriche créée en 1918 sur les décombres de la monarchie des Habsbourg et l'attraction exercée par l'Allemagne, dans les années 1920, sur tous les courants politiques autrichiens, à commencer par les socialistes. Mais aussi le combat de l'État autrichien contre la menace nationale-socialiste à l'intérieur et à l'extérieur, de 1933 à 1938, combat mené aussi par le régime autoritaire institué en 1934. En 1934 encore, après la répression par l'armée autrichienne d'une insurrection socialiste, l'écrasement de la tentative de putsch nazi au cours de laquelle le chancelier Dollfuss fut assassiné. Quatre ans plus tard, le sursaut du chancelier Schuschnigg qui entreprit de consulter les Autrichiens sur leur volonté de préserver l'indépendance de leur pays, consultation prévue le 13 mars 1938 et dont le résultat aurait sûrement été positif si Hitler, précisément, n'avait pas voulu en interdire la tenue en faisant envahir le pays par l'armée allemande, dans l'indifférence des démocraties occidentales. Sans oublier le trucage du plébiscite nazi du 10 avril 1938, l'implacable destruction des attributs souverains de l'Autriche, la poursuite des opposants (70 000 arrestations lors de l'Anschluss), le règne de la terreur et la persécution des Juifs. Et enfin la résistance autrichienne en exil ou intérieure - qu'elle soit communiste et socialiste, catholique ou conservatrice et monarchiste, résistance méconnue qui eut ses héros et ses martyrs. Pourquoi, enfin, se souvient-on si peu que les hommes qui ont assuré la renaissance d'une Autriche libre et démocratique, après 1945, étaient tous passés par les prisons nazies ? Jean Sévillia, fin connaisseur de l'Autriche et de son histoire, et fort de sources inédites en français, répond à toutes ces questions et, partant, brise les idées reçues, rendant justice à cette Autriche qui, très tôt, a dit non à Hitler."--Page 4 of cover.

• Forgotten chapters in the history of violence : deportation in the early modern Habsburg Empire and its European surroundings
• "An Austrian Cayenne" : forced labor in the early modern Habsburg Empire
• Austria's penal colonies : deportation, resettlement, and detention in the Habsburg Empire
• "Acting as if in a republic already" : Carinthian underground Protestants rehearse the uprising
• Writing against suffocation : migrant letters as documents and strategies of survival
• A tale of two cities : Protestant preachers and private tutors in Vienna under the rule of Emperor Charles VI
• "Giving short shrift by flogging, hanging, and beheading" : a Gypsy trial and its pitfalls
• The enemy within : Gypsies as external and internal threat in the Habsburg Monarchy and the Holy Roman Empire
• From poisoned pens to procedural justice : Remarks on Gypsy agency
• Out of the past : the end of Gypsy slavery in Bukovina
• There is no meaning with a capital "M" : in conversation Carlo Ginzburg

"Combating the Hydra explores structural as well as occasion-specific state violence committed by the early modern Habsburg Empire. The book depicts and analyzes attacks on marginalized people "maladjusted" of all sorts, women "of ill repute," "heretic" Protestants, and "Gypsies." Previously uncharted archival records reveal the use of arbitrary imprisonment, coerced labor, and deportation. The case studies presented provide insights into the origins of modern state power from varied techniques of population control, but are also an investigation of resistance against oppression, persecution, and life-threatening assaults. The spectrum of fights against debasement is a touching attestation of the humanity of the outcasts; they range from mental and emotional perseverance to counterviolence. A conversation with the eminent historian Carlo Ginzburg concludes the collection by asking about the importance of memorizing horrors of the past"-- Provided by publisher

• La monarchie des Habsbourg : jalons et repères
• Les origines de la monarchie des Habsbourg
• Un embryon de pouvoir central
• Le défi de la Réforme
• Les États héréditaires et la Réforme
• Contre-Réforme et baroque
• La monarchie autrichienne puissance européenne
• Le Saint Empire et les États héréditaires
• Le prince Eugène, grand capitaine, homme d'état et esthète
• L'hôtel de Soissons
• Au service des Habsbourg
• Zenta
• La guerre de Succession d'Espagne : l'apogée de sa gloire militaire
• Nouvelles guerres turques
• Le premier dans l'État
• La guerre de Succession de Pologne
• La mort
• Wenzel Anion von Kaunitz, diplomate et homme d'état
• Les années de formation
• Une ascension rapide
• L'ambassade à Versailles
• Chancelier d'État
• La guerre de Sept Ans
• Le réformateur
• Joseph II corégent
• Le partage de la Pologne
• Le faux pas bavarois
• Joseph H seul maitre à bord
• Bis repetita
• La Russie
• Joseph II et la France
• Léopold II
• Klemens Wenzel Lothar von Metternich, le prince du conservatisme
• Les origines
• Les premiers postes
• Ambassade à Paris
• Sur la plus haute marche
• Le duel avec Napoléon
• Coarchitecte de l'Europe nouvelle
• La paralysie du pouvoir gouvernemental
• Montée d'oppositions
• Échecs diplomatiques
• La chute
• Les dernières années
• Le prince Felix Zu Schwarzenberg, restaurateur du pouvoir impérial
• Jusqu'à la révolution de 1848
• À la tête du gouvernement autrichien
• La Constitution du 4 mars 1849
• Le front hongrois
• Le duel avec la Prusse
• La restauration de l'absolutisme
• La mort de Schwarzenberg
• Le baron Alexander von Bach, père de l'administration autrichienne moderne
• Avant 1848
• 1848
• Le tournant d'octobre 1848
• Ministre de l'Intérieur
• L'ère Bach
• Bach et l'Église
• Dernier grand chantier
• La démission
• Le comte Friedrich Ferdinand von Beust, artisan du compromis de 1867
• Au service de la Saxe
• La mission de Beust à Paris
• Au service de l'Autriche
• Interventions sur la scène cisleithane
• Fronts extérieurs
• Le comte Eduard von Taaffe, la politique des petits pas
• Premières armes
• La fin de l'ère libérale
• L'ère Taaffe
• L'échec du compromis de Bohême
• La fin de l'ère Taaffe
• Le baron Max Vladimir von beck
• Les origines
• François-Ferdinand
• Ministre-président
• Le suffrage universel
• Le compromis avec la Hongrie
• Le comte Istvan Tisza, la fin de l'Autriche Hongrie
• Les premières années
• L'entrée en politique
• Chef du gouvernement
• Fausse sortie
• Dans l'attente
• De nouveau chef du gouvernement
• Tisza et François-Ferdinand
• La crise de juillet 1914
• Le front italien
• Le front roumain
• La question polonaise
• Charles le nouvel empereur-roi
• La politique autrement
• "Nous avons perdu la guerre.

"La grandeur de l'Autriche, acteur majeur de l'histoire de l'Europe, est d'abord l'œuvre de ses souverains, les empereurs qui se succédèrent de 1450 à 1918. Mais ceux-ci n'auraient pu accomplir leur mission sans le concours des ministres qui les assistèrent. Jean-Paul Bled brosse avec maestria le portrait de neuf d'entre eux, tous dévoués serviteurs de l'État habsbourgeois. L'ouvrage, original et passionnant, s'ouvre avec la brillante figure du prince Eugène de Savoie, au XVIIe siècle, alors que l'Autriche accède au statut de grande puissance : elle a reconquis la Hongrie qui forme maintenant un ensemble compact avec le noyau austro-bohême, vient de chasser les Turcs hors de son territoire et, sur le continent, a pris la tête de la coalition antifrançaise. Puis viennent le prince Wenzel Anton von Kaunitz, principal collaborateur de Marie-Thérèse et père de l'alliance avec la France de Louis XV; le prince Klemens Wenzel von Metternich, vainqueur de Napoléon et acteur essentiel du congrès de Vienne; le prince Felix zu Schwarzenberg, restaurateur du pouvoir monarchique après la révolution de 1848; Alexander von Bach, figure emblématique de l'ère néoabsolutiste ; Friedrich Ferdinand von Beust, artisan du compromis austro-hongrois de 1867; Eduard von Taaffe, qui pratiqua des arrangements permanents et adaptés à la nature pluraliste de l'Autriche; Max Vladimir von Beck, dernier grand ministre de François-Joseph, qui fit voter l'adoption du suffrage universel ; enfin le Premier ministre hongrois, Istvan Tisza, partisan résolu du dualisme et dont la mort violente en octobre 1918 coïncide avec l'effondrement de la double monarchie. Une galerie flamboyante offrant une autre histoire de l'Empire des Habsbourg par l'un de ses meilleurs spécialistes."--Page 4 of cover.

• Introduction: concepts and context
• A chnaging symbol of authority: the meaning and tradition of the Holy Crown up to 1526
• The Holy Crown and the Hungarian Estates: the transformation of the Estates from a cultural to a political community
• Emperor Rudolf II, Habsburg rule in Hungary and the Holy Crown
• The Bocskal Rebellion (1604-1606)
• The Ottoman crown of Bocskal
• The return of the Holy Crown to Hungary
• Péter Révay's History of the Holy Crown (1613)
• The effect of Révay's book on the crown
• Conclusion.

This book is about one of the most important elements of the political narratives in the history of Hungary in past and present: the Holy Crown of Hungary. This object is one of the most widely used symbols of modern Hungarian nationalism in our times and has been in use for ages in political culture. Surprisingly less is known how the meaning of the crown has changed over the centuries and how this influenced the development of national identity in the early modern period. Starting point is that the "medieval doctrine of the holy crown" is a modern invention. Teszelszky's research concentrates on the relation between the change in the meaning of this crown and the construction of an early modern national identity between 1572 and 1665. Using a constructivist method of research the author shows how the Habsburg ruler and the Hungarian estates legitimised their political program through an image of the crown and the Hungarian political community. In a short period between the end of 1604 and 1613 during a rebellion in Hungary, a war with the Ottomans and a strive between Emperor Rudolf II and his brother Archduke Matthias, the medieval tradition of the holy crown was revived and redeveloped by Hungarian and foreign historiographers into an ideology which is still present today. --Provided by publisher.

• Der Bericht der Helene Kottannerin
• Wer, was, wo? Der Bericht der Helen Kottannerin in seiner Zeit
• Helene Kottannerin in der Forschung.